Ircam Live est une soirée électronique dédiée aux musiciens qui jouent avec les codes de l’ère numérique. Ce programme initié dans le cadre des Ateliers du Forum Ircam est conçu avec les Spectacles vivants du Centre Pompidou.

Ircam Live conjugue ingénierie et créativité dans une soirée électro composée d’expérimentations artistiques et de performances.

Réalisé en hommage au cinéaste Derek Jarman, cette pièce musicale s’inspire des premiers enregistrements électroniques de pionniers comme Terry Riley ou Morton Feldman. Les deux artistes ont présenté leur travail lors de l’édition 2016 du BFI Film Festival de Londres et pour la première fois en France au Cube.

La Biennale Némo l'annonçait en 2013 dans une rencontre : "Game Boy Is Over" ! Elle suit alors un principe simple : être volontariste et aiguiser sa curiosité sur le repérage d'artistes féminines. La Biennale s'associe à Shape, la plateforme de diffusion du réseau Icas (16 manifestations européennes d’arts numériques et de musiques électroniques). Avec cette soirée de trois lives electro : pleines basses pour Nkisi, Bonaventure et Jasss.

Le nouveau spectacle mathématique de Ryoji Ikeda, les extraordinaires lasers du mage australien Robin Fox, une Sonate de Ligeti interprétée par Mister Quayol, les jouissifs Gangpol & Mit....

La Whitechapel Gallery à Londres propose cet automne une série d'événements qui explorent les intersections entre art visuel et musique expérimentale.

Composé en 1969 par Gavin Bryars (né en 1943, Yorkshire) et publié aussitôt par le label « Obscure » de Brian Eno, le matériau de The Sinking of the Titanic provient entièrement de sources sonores liées aux récits du désastre, dont la plus singulière est la musique d’un petit orchestre de bord qui jouait, encore et toujours, sur un pont de plus en plus incliné.

Considéré comme le pionnier de la musique minimaliste, Steve Reich en personne s’associe aux musiciens pour mettre en mots et présenter une série de concerts consacrée à ses œuvres majeures. Des programmes performatifs en journée et en soirée qui mettent en lumière ce courant musical majeur né aux États-Unis.

Dans Rundfunk, Enno Poppe se confronte à l’archéologie des musiques électroniques : en reconstruisant grâce à l’ordinateur des instruments disparus ou difficiles à programmer, il recompose le sound des années 1960 et 1970.

Sans aucun doute l’un des grands rendez-vous crossover de la Biennale, avec nos aventureux amis de l’Ensemble intercontemporain. Aux côtés de pièces emblématiques de l’orchestre et de créations mondiales, Némo apporte un plateau d’artistes électroniques qui constituent la fine fleur de l’audiovisuel live aujourd’hui.

Matthias Pintscher, le compositeur et nouveau directeur musical de l’Ensemble intercontemporain a imaginé un programme aux multiples correspondances entre les arts, les époques et les styles.

Son œuvre musicale faisant écho à son travail d'artiste visuel, Carsten Nicolai cherche à surmonter la séparation des perceptions sensorielles de l'homme en rendant les phénomènes scientifiques, comme les fréquences du son et de la lumière, perceptibles pour les yeux et les oreilles.

Quasi Stellar Objects programme des concerts, des lives vidéos (film, analogique ou numérique), des performances audiovisuelles avec pour mots d’ordre : singularité, radicalité, poésie.

Peut-on danser sur la musique contemporaine ? Cette question incongrue de Matteo Franceschini l’incite à pousser la forme du « concert classique » vers le « dance floor ». Débutant comme une soirée de musique de chambre, Opus transforme peu à peu le récit musical et visuel, onirique et théâtral en pure scène électronique.

Le roman de Stanislas Lem sonde nos craintes les plus profondes et nos espoirs de demain : pour comprendre une forme extra-terrestre, les humains doivent apprendre à se connaître eux-même. C’est autour de cette éternelle quête humaine que se retrouvent le compositeur Dai Fujikura et le chorégraphe et scénographe Saburo Teshigawara afin de créer à quatre mains une version opératique de Solaris.